vendredi 29 juin 2007

que voit l'aveugle ?

ne nous trompons pas, tout a été imaginé sur Terre, et rien n’existait avant l’apparition de l’homme, sauf la nature et les animaux. c’est donc cette pensée créatrice qui nous a fait prendre le contrôle de notre planète en dominant le minéral , le végétal et l’animal. l’homme est sans doute un apprenti sorcier qui a joué avec les éléments et avec les matériaux mis à sa disposition. Le plus dur a peut-être été d’élever son niveau d’intelligence afin de créer et d’inventer. Si l’aveugle voit dans son for intérieur, que voit-il exactement ? que mettent en action ses rêves ? avons-nous la possibilité d’engendrer une imagerie, même en l’absence de vision ? si oui cela voudrait dire que nos gènes ou nos neurones transportent des images pré imprimées qui nous permettent une vie intérieure en référence à un savoir et des connaissances d’un autre temps. Comme si la mémoire humaine emmagasinait l’histoire du monde au fil du temps. Alors si un jour une guerre nucléaire ou un cataclysme venaient à détruire toute trace de vie et de matière organisée, est-ce que les survivants retrouveraient cette mémoire collective. On dit que les animaux et les êtres humains ont des réflexes préprogrammés à la naissance, peut-être pour ne pas commettre les mêmes erreurs du passé, ou alors sommes-nous programmés pour survivre, quoi qu’il arrive. si le muet ne parle pas en lui-même et si l’aveugle ne voit rien non plus en lui-même, cet être invisible qui nous habite et qui domine notre matière, serait donc lié à la croissance et à la dégénérescence du corps qu’il habite. Cela sonnerait sans doute le glas de certains concepts qui voyent une séparation du corps et de l’esprit à la mort, rendant l’âme immortelle. Maintenant nous pouvons tout imaginer, sauf peut-être l’image de Dieu, car notre mémoire interne sait peut-être qu’il n’existe pas. Mais là est un autre débat.

question existentielle

C’est en étudiant la matière que nous arrivons à remonter aux origines, à nos origines, les rayonnements, les ondes et la lumière qui arrivent du fond de l’espace nous rapprochent du temps initial, du temps relatif qui a précédé à cette micro seconde où le tout a explosé. Cet univers en expansion nous révèle peu à peu ses secrets, avec l’aide des techniques les plus modernes, l’homme cherche à savoir d’où il vient, comment il est arrivé là et où il va pour ne plus douter. Il tente de remonter jusqu’à la naissance de ce tout, jusqu’au moment où tout a commencé. Et si ce moment n’était pas le point de départ, et si cette matière si dense avait déjà eu d’autres existences, et si notre univers était contenu dans un autre espace, dans une autre dimension ou d’autres espèces nous observaient, des êtres sans corps mais immatériels, de purs esprits présents en tout et partout, peut-être ce DIEU qui nous attend dans cette autre dimension, de l’autre côté de la matière, dans l’anti-matière, de l’autre côté du miroir, comme si l’envers de ce qui est visible était invisible, comme si notre ombre nous suivait à distance, dans le temps opposé au notre, de l’involution vers l’évolution.Une porte doit exister quelque part, au point zéro, là où tout a commencé, et cette porte sera-t-elle un jour le point de passage de l’univers inversé, lorsque notre univers en expansion inversera son évolution pour revenir à son origine, cette involution qui nous ramènera vers le point zéro et qui, à son tour passera de l’autre côté. Il y a le jour, puis la nuit, les ténèbres et la lumière, le ying et le yang, comme ces trous noirs qui attirent la matière qui se transforme en anti-matière, ne sommes-nous pas attirés nous aussi vers ce trou noir, ce passage à une autre vie, de l’autre côté du miroir, de l’ombre vers la grande lumière, celle qui illumine l’intérieur, qui guide l’esprit et qui nous purifie. Les exemples sont nombreux, les expériences vers cette autre rive nous ont laissé des indices, des morceaux de puzzles qui essayent de s’emboîter les uns dans les autres.

livre l'Enquête Sacrée

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au bureau

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Charles DMYTRUS au travail